Ce sont les deux derniers archétypes du mythe du héros. Tant le SAGE comme le FOU nous aident à trouver la liberté nécessaire pour vivre ou mourir. Car la plus grande crainte de l'homme est de se donner, de perdre le contrôle, d'être impuissant.
Chacun de ces archétypes nous aide à gagner la liberté d'une forme singulière.
Il nous aide à : comprendre le sens de la vie et la mort, confronter de grands problèmes et à trouver la liberté dans la vérité.
La prédominance du SAGE peut donner un air austère et lourd, de la difficulté à profiter de la vie qui nous reste, nous émerger dans le passé de nos mémoires pour chercher un sens à notre vie.
Si le SAGE en arrive à oublier le « aujourd’hui », Le FOU, lui, est dans la légèreté du Carpe Diem.
Le FOU sait et peut apprécier la vie. Les personnes plus âgées ont généralement la permission d'être excentriques et même un peu enfantines. Si la mort n'a pas de solution alors elle est solutionnée. Il profite de la vie qui lui reste et l’accepte telle qu’elle est.
Sans l’union du SAGE, le FOU peut causer une influence imprudente, et même oublier les grandes questions de la vie.
Sagesse et satisfaction, sont les caractéristiques qui nous font transcender tout ce qui est excessivement humain et charnel. Elles nous libèrent de questions mineures et nous permettent d’être et d’exister avec plaisir. Aujourd’hui et avec ce que nous sommes.
La fin du voyage du héros nous apporte l'illumination, la mort et la résurrection.
Ce voyage n'est pas fait qu'une seule fois dans la vie, mais plusieurs. A chaque retour du héros nous avons évolué un peu plus. Il s'agit d'un développement en spirale. Nous revenons au point d’où nous sommes sortis, mais, avec un niveau de conscience beaucoup plus grand.
Tout se termine là où tout commence !
“We move in circles
Balanced all the while
On a gleaming razor’s edge
A perfect sphere
Colliding with our fate
This story ends where it began”
Balanced all the while
On a gleaming razor’s edge
A perfect sphere
Colliding with our fate
This story ends where it began”
Dream Theater – Octavarium
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